ÉCO-TOURISME ET VIE SAUVAGE

Wild Seas Explorer souhaite vous proposer des alternatives durables pour voyager avec un impact positif ! 

VERS UN NOUVEAU TOURISME

Voyageons en douceur

Le tourisme et le voyage peuvent être pratiqués en masse, sans conscience, sans ouverture d'esprit et sans volonté aucune de changer les comportements et les moeurs. Mais les voyages peuvent aussi être des vecteurs de découverte, d'émerveillement et donc vecteur de changement ! Nous ne pouvons nous résigner à cesser de découvrir le monde, cesser de l'observer, de l'admirer et de le vivre tout simplement. Nous voulons le parcourir en douceur, le caresser du bout des rêves, le découvrir du bout de l'âme, pour le protéger de tout son cœur ! C'est pourquoi nous travaillons à vous proposer des alternatives durables au tourisme de masse.

LES IMPACTS DU TOURISME SUR LES HABITATS

le taux de croissance de l’urbanisation estimé par an est de 2%

30 000 hectares

d’espaces naturels, de forêts ou de champs disparaissent chaque année en France à cause de l'urbanisation

20 à 40% des voyageurs choisissent leur lieu de voyage en fonction du milieu naturel environnant.

20 à 40%

C'est le pourcentage des voyageurs qui choisissent leur lieu de voyage en fonction du milieu naturel environnant. Votre ntérêt pour la nature semble grandissant !

15% des espaces sont protégées, selon le Centre mondial de surveillance de la conservation de l'UICN et du PNUE (=20 millions de km2).

16.6%

des terres de notre planète sont protégées

4% des océans de la planète sont protégés, malgré des progrès remarquables (=15 millions kms²= taille Russie).

7.7%

des océans de notre planète sont protégés (La France présentant le plus grand pourcentage de surfaces marines protégées)

Réduction des habitats

Le tourisme implique inévitablement le développement des territoires, l'urbanisation et l'artificialisation des sols par la construction des hébergements, des axes routiers et des infrastructures qu'il nécessite. Ce développement des territoires à de lourdes conséquences : - Destruction de milieux déjà fragiles tels que les forêts primaires, les mangroves, les zones humides... - Dégradation des milieux par l'extraction de sable, l'érosion des plages, des dunes de sable mais aussi des sols... - Dérangement ou mort de la faune sauvage à cause des collisions dues à une plus grande fréquentation des territoires, ou à cause de la fragmentation de leurs habitats. La construction de grands complexes hôteliers, faisant fie de l'environnement, des milieux, de la flore, de la faune et de leurs habitats contribue grandement à la destruction des sites. 🌿🌿🌿 Évitons les hébergements non respectueux de leur environnement ! Privilégions les hébergements à faible impact !🌿🌿🌿

Nous exploitons, vous exploitez, ils exploitent les ressources...

Le tourisme influe sur l'économie, et malheureusement l'économie impacte l'écologie en privilégiant la surexploitation des ressources à une consommation raisonnée de notre planète. La surexploitation d'espèces sauvages (surpêche, déforestation, braconnage…) est guidée par notre manière de consommer. La production alimentaire et le gaspillage alimentaire sont le secteur économique ayant le plus grand impact sur la biodiversité, contribuant à ce jour à 60 % de la perte totale de biodiversité. L’eau est une ressource vitale pour l’ensemble du vivant. La surexploitation de nos ressources en eau est un fléau pour l'Homme et pour tout le vivant ! Malheureusement, le touriste a tendance à consommer plus d’eau en voyage. C'est donc à chacun d'entre nous de minimiser sa consommation ! En parlant d'eau... Les ressources marines sont elles aussi surexploitées et la surpêche fait bien des dégâts, tel que la destruction des habitats (chalutage, pêche à la dynamite), les prises accessoires, ou encore la surexploitation des stocks halieutiques. Quand à la consommation énergétique, elle ne cesse d'augmenter. Les charges électriques d’un hébergement sont le chauffage (31%), la climatisation (15%), l’eau chaude (17%), l’éclairage (12%). Si toute la population mondiale vivait comme les habitants de la France, l’humanité aurait besoin de presque trois Terres pour satisfaire à ses besoins. Arrêtons de grignoter notre planète ! 🌿🌿🌿 Privilégions les repas végétariens, la nourriture locale, changeons notre manière de consommer, même en vacances (et surtout en vacances). C'est par notre manière de consommer que nous feront le premier pas vers le changement ! Et c'est ce que nous essayons de faire pour l'organisation de vos voyages ! 🌿🌿🌿

Consommation par touriste pour une nuit - éco-tourisme

150 à 300 litres d'eau

sont consommés en moyenne par touriste et par jour (2 fois moins par les locaux)

Le jour du dépassement est le jour de l’année où l’humanité a consommé l’équivalent des ressources que l’ensemble des écosystèmes de la planète peut générer en une année

2 Août

est la date du "jour du dépassement" en 2023 (à partir du quel l’humanité est supposée avoir consommé l’ensemble des ressources naturelles que la planète est capable de produire en un an pour régénérer ses consommations ou absorber les déchets produits

38.5 millions de tonnes de prises accessoires par an par les méthodes de pêches actuelles

38.5 millions de tonnes

C'est le tonnage de prises accessoires chaque année : cétacés, requins, espèces non ciblées ou vulnérables

Dépenses énergétique d'un hôtel

75 %

La consommation d'eau représente 3/4 des dépenses énergétique d'un hôtel

1 million de bouteilles en plastique sont vendues chaque minute dans le monde !

1 millions

C'est le nombre de bouteilles en plastique qui sont vendues chaque minute dans le monde !

7e continent, le tristement célèbre continent de plastiques. fait 1.6 million de kilomètres carré

1.6 million de km2

C'est la surface du 7e continent, le tristement célèbre continent de plastiques.

99 % des oiseaux marins auront ingéré du plastique d'ici 2050

99 %

C'est le pourcentage d'oiseaux marins qui auront déjà ingéré du plastique d'ici 2050. En 1960, moins de 5% des oiseaux marins étaient concernés.

99 % des oiseaux marins auront ingéré du plastique d'ici 2050

100 000

mammifères marins meurent chaque année à cause de l'ingestion de plastiques ou de l'emmêlement dans des débris plastiques

430 millions de tonnes de plastiques produits chaque année

430 000 000 tonnes

de plastiques produits chaque année.

PLASTIQUE ET DÉCHETS : C'EST HAS BEEN !

Le plastique, c'est pas fantastique. Le plastique c'est has been. Le plastique est un véritable fléau qui tel un virus, pullule, se multiplie, grandi sans aucune maîtrise ! Alors qu'il nous suffirait de... 460 millions de tonnes de plastique sont produites chaque année. C'est 2 fois plus qu'il y à 20 ans. Cette production pourrait encore tripler d'ici 2060. 99 % du plastique est fabriqué à partir de substances chimiques provenant de sources polluantes et non renouvelables. Seulement 9% du plastique est recyclé et deux personnes sur cinq n'ont pas accès à un système de gestion des déchets. 8 millions de tonnes de plastique se déversent chaque année dans les océans, si bien que nous ingérons l’équivalent d’une CB (5g) par semaine ! On trouve maintenant des plastiques et des microplastiques dans tous les océans et à toutes les profondeurs ! D'ici 2050, il pourrait y avoir plus de plastique que de poissons dans les océans... Bien triste constat lorsque l'on voyage pour observer les poissons ! En prenant connaissance de ces chiffres, on peut également prendre conscience de notre marge de manœuvre ! Nous sommes pour la plupart responsables de cet état de fait, au moins en partie ! Vous pouvez donc agir à titre personnel en modifiant vos habitudes domestiques et de consommation, mais aussi à travers vos choix touristiques ! En effet, l'industrie du tourisme et les touristes, vous, nous, avons une grande part de responsabilité dans cette pollution ! 🌿🌿🌿 Nous adhérons entant qu'entreprise du tourisme à plusieurs chartes d'engagement. Concernant la pollution, nous adhérons à la charte de Global Tourism Plastic Initiative. Nous nous engageons donc à titre professionnel mais aussi personnel à ne pas utiliser de produits plastiques dangereux ou non nécessaire, à recycler tous les plastiques utilisés, à sensibiliser nos partenaires et nos voyageurs sur la pollution aux plastiques et à ramasser les déchets en mer ! Si vous embarquer avec nous, vous n'aurez pas le choix que de nous donner un coup de main ! 🌿🌿🌿

Changement climatique ça existe !

Le tourisme et le voyage contribuent en grande partie aux émissions de carbone, en raison des transports utilisés pour se rendre à destination. Les avions, les voitures et les navires de croisière émettent une quantité considérable de CO2, contribuant ainsi au dérèglement climatique. Toutefois, nous pensons que s'il est important de toujours en avoir conscience, le voyage a aussi un impact positif à la fois sur notre regard au monde (relativité, positivité, ouverture d'esprit...). Voyager doit être un acte réfléchi, un rêve qui se prépare et un projet qui se façonne pour avoir le temps de se déconnecter. Prendre le temps de s’immerger dans la nature, de profiter de chaque moment, de découvrir intensément chaque région et partager avec les populations locales. Avoir le temps de participer à des activités à impact positif. 🌿🌿🌿 Nous souhaitons vous proposer des alternatives, un tourisme plus responsables, des voyages plus utiles. Nous souhaitons nous servir de notre offre comme d'un levier de développement, un moyen financier de protéger notre biodiversité et favoriseR les populations locales. C'est pourquoi Wild Seas Explorer vous impose (mais à ses frais) une compensation carbone pour vos voyages via le bouturage de coraux ! Nous récompensons également toutes personnes choisissant de se rendre à destination en train ou en covoiturage ! Enfin, nous nous refusons à proposer des destinations lointaines pour un nombre de nuitées réduit ! 🌿🌿🌿 CALCULEZ VOTRE EMPREINTE CARBONE

dérèglement climatique - Aucun glaciers n'existera dans 50 à 100 ans si leur fonte continue

Aucun

Il ne restera aucun glacier de montagne d'ici 50 à 100 ans si leur fonte continue leur évolution.

92 % de la population mondiale respire un air trop pollué

92 %

de la population mondiale respire un air trop pollué

60 % des voyages aériens sont représentés par le tourisme et contribue au dérèglement climatique

60 %

C'est le pourcentage de voyage aériens représenté par le tourisme.

On estime à +3.2 degrés le réchauffement climatique d'ici 2100

+ 3.2 °C

C'est le réchauffement désastreux estimé d'ici la fin du siècle

Une espèce sur deux sera menacée si la Terre se réchauffe de 4 degrés à cause du réchauffement climatique

1 espèce sur 2

sera menacée si la Terre se réchauffe de 4°C.

25000 tonnes de crème solaire déversées chaque année dans les océans.

25 000 tonnes

de crème solaire déversées chaque année dans les océans.

10% des coraux sont menacés par les filtres solaires​

10 %

des coraux sont menacés par les filtres solaires

25 % des espèces marines dépendent du corail.

25 %

des espèces marines dépendent du corail.

350000 produits chimiques (ou mélange de produits chimiques) existent sur le marché mondial​

350 000

produits chimiques (ou mélange de produits chimiques) sur le marché mondial

Aucun écosystème n'est épargné par la pollution, de l'Arctique à l'Antarctique, des profondeurs des océans aux sommets des montagnes !

AUCUN

écosystème n'est épargné par la pollution, de l'Arctique à l'Antarctique, des profondeurs des océans aux sommets des montagnes !

Aucun endroit sur Terre n'existe encore où l'on peut trouver de l'eau de pluie propre à la consommation. Même en Antarctique ou sur le plateau tibétain, les niveaux de polluants chimiques présents dans l'eau de pluie sont au-dessus des recommandations proposées de l'Agence de protection de l'environnement des États-Unis

AUCUN

endroit sur Terre n'existe encore où l'on peut trouver de l'eau de pluie propre à la consommation. Même en Antarctique ou sur le plateau tibétain, les niveaux de polluants chimiques présents dans l'eau de pluie sont au-dessus des recommandations proposées de l'Agence de protection de l'environnement des États-Unis

POLLUTION CHIMIQUE

La pollution chimique est un fléau sur notre belle planète bleu. Aucun endroit sur Terre ne semble être épargné. Même en Antarctique ou sur le plateau tibétain, les niveaux de polluants chimiques présents dans l'eau de pluie sont au-dessus des recommandations proposées de l'Agence de protection de l'environnement des États-Unis. La crème solaire fait partie de nos grandes inquiétudes, car elle affecte des milieux que nous affectionnons particulièrement et parce qu'entant qu'acteur du tourisme nous sommes particulièrement amené à vous mettre dans des situations où vous pourriez avoir à vous servir de ce produit. La crème solaire est une pollution chimique. Elle participe au blanchissement des coraux, est nocive pour la faune marine en général à cause de filtres UV et toxiques (l'oxybenzone, l'octinoxate, l'octocrylène) au point que certains pays interdisent certaines crèmes solaires (Hawaiï, Palaos). Une autre inquiétude va directement aux "polluants éternels", les PFAS (per et polyfluoroalkylées). Ces polluants chimiques, imprégnant les milieux pour des centaines d'années sont issus des rejets industriels mais aussi des pesticides ! L'impact sanitaire sur l'Homme est considérable, et ne peut que l'être tout autant sur l'environnement, la faune et la flore. constituent une menace importante Ces polluants sont une menaces pour les environnements aquatiques, car ils peuvent persister dans l'eau et les sédiments, entraînant une exposition à long terme des organismes aquatiques. 🌿🌿🌿 Nous fournissons lors de nos croisières à la voile de l'Aloe vera en place de crème hydratante chimique, du dentifrice à l'argile en place du dentifrice au fluor, de la crème solaire éco-certifié (mais nous vous suggérons fortement de vous couvrir plutôt!), et du savon maison et bio pour se laver à l'eau de mer avec un impact minimum ! Les produits ménagers que nous utilisons sont également éco-certifiés. Nous favorisons les produits Bio, même si le cahiers des charges nous semblent trop laxiste... Évidemment nous poussons nos partenaires à agir selon la même éthique. 🌿🌿🌿

Sur-fréquentation

Les touristes privilégient souvent les mêmes périodes de l’année (vacances scolaires) et les mêmes zones du monde avec une prédilection pour les sites naturels (en premier lieu, les zones littorales). Le secteur a bénéficié de l’essor de la mondialisation et des progrès technologiques qui ont rendu le voyage plus accessible : baisse des prix des billets, simplicité de réservation par Internet, l’économie collaborative… Les dommages causés par une quantité ingérable de personnes sur des lieux inadaptés sont plus importants lorsque les visiteurs sont en pleine nature, au contact de la flore et de la faune. C’est le cas au Machu Pichu ainsi que dans d’autres destinations et attractions bien connues. Des quotas sont souvent mis en place pour réguler. 🌿🌿🌿 Nous évitons les lieux et périodes surfréquentés et ne proposons pas de voyages en groupes supérieurs à 12 personnes en nature et 8 avec les animaux sauvages. 🌿🌿🌿

5ù des touristes se concentrent sur 5 % des espaces dans le monde.​

95 %

des touristes se concentrent sur 5 % des espaces dans le monde.

1.5 milliard de personnes voyagent à l’international chaque année et ce chiffre augmente tous les ans.

1.5 milliard

de personnes voyagent à l’international chaque année et ce chiffre augmente tous les ans.

3 à 4% de touristes en plus sur la planète (augmentation de 133 % en 20 ans).

3 à 4 %

de touristes en plus sur la planète (augmentation de 133 % en 20 ans).

390 milliards de dollars, c'est ce qu'ont coûté les invasions biologiques à nos sociétés en 2019​

390 milliards de dollars

C'est ce qu'ont coûté les invasions biologiques à nos sociétés en 2019

Les espèces exotiques envahissantes sont impliquées dans 60 % des extinctions globales d’espèces documentées et 90 % de ces extinctions ont eu lieu dans les îles. Les environnements éloignés sont particulièrement sensibles aux invasions biologiques.. Le Dodo est un parfait exemple.

60 %

Les espèces exotiques envahissantes sont impliquées dans 60 % des extinctions globales d’espèces documentées et 90 % de ces extinctions ont eu lieu dans les îles. Les environnements éloignés sont particulièrement sensibles aux invasions biologiques.. Le dodo, un gros oiseau présent uniquement sur l’île Maurice est un exemple parfait de l'extinction d'une espèce suite à l'invasion par d'autres. Outre le fait qu'il ait été une proie facile pour les marins, il a été persécuté et ses nids pillés par les chiens, singes, porcs, chats et rats débarqués des bateaux.

200 nouvelles espèces exotiques sont enregistrées chaque année. Plus de 37 000 espèces exotiques ont été introduites par les activités humaines ; et 3 500 de ces espèces ont des impacts négatifs.

200

nouvelles espèces exotiques sont enregistrées chaque année. Plus de 37 000 espèces exotiques ont été introduites par les activités humaines ; et 3 500 de ces espèces ont des impacts négatifs.

L’iguane commun a colonisé les Antilles françaises au début du XXe siècle. Il constitue une menace majeure pour l’iguane des Petites Antilles, espèce endémique, par compétition et hybridation fertile

L'Iguane commun

L’iguane commun a colonisé les Antilles françaises au début du XXe siècle. Il constitue une menace majeure pour l’iguane des Petites Antilles, espèce endémique, par compétition et hybridation fertile

Prélèvements et introductions

Le prélèvement et l’importation d’espèces animales ou végétales a des conséquences souvent irréversibles sur les écosystèmes, où elles peuvent rapidement devenir des espèces invasives. Elles peuvent alors provoquer la disparition des espèces natives voire endémiques de plusieurs manières : hybridation, prédation, transmission de maladies, etc. Les touristes non avisés prélèvent de nombreuses espèces qu'ils ramènent comme souvenir (corail, fleurs, plantes, coquillages…). Ils peuvent également disséminer des espèces sans même sans apercevoir, par exemple en piétinant des espaces et en ramenant des graines, des racines, des œufs d'insectes sous leurs chaussures. Ils peuvent transporter des espèces de coquillages ou d'algues sur la coque d'un bateau, ou sur l'ancre qu'ils jettent ça et là ! Par la même occasion l'ancrage peut endommager des écosystèmes entiers et la faune et la flore associées (récifs corraliens, herbiers de Posidonie...) Indirectement, le secteur du tourisme est responsable du prélèvement de sable, de roches, de pierres pour le BTP et la constructions des infrastructures. Ces prélèvements ont des conséquences importantes sur l'érosion des sols, des plages, des milieux dunaires ou encore sur la destruction des milieux humides. 🌿🌿🌿 Nous nous engageons, et vous également en signant notre charte éthique, à ne pas ramener d'êtres vivants de la destination vers votre pays de retour. Nous nous engageons également à toujours prendre toutes les mesures possibles pour ne pas jeter l'ancre dans les Herbiers de Posidonies en Méditerranée et dans aucun milieu sensible dans d'autres régions et à vous sensibiliser à notre code de bonne conduite au mouillage ! 🌿🌿🌿

LES DÉRIVES SUR LA FAUNE SAUVAGE

La chasse aux trophées - L'abattage d'un lion vaut entre 25000 et 45000 euros !

25 000 à 45 000 €

C'est ce que vaut l'abattage d'un lion !

tourisme cynégétique - chasse aux trophées, combien rapporte le tourisme de chasse au Maroc

6 000 000 €

C'est ce que rapporte le tourisme cynégétique (tourisme de chasse) au Maroc chaque année

Augmentation de 40% en 5 ans des importations d'animaux pour servir le tourisme cynégétique (le tourisme de chasse) et la chasse aux trophées

+40 %

d'importation d’espèces de chasse aux trophées depuis 5 ans

200 corridas sont organisées tous les ans en France

200 par an

corridas sont organisées en France

Chasse et mises à mort

AFRIQUE DU SUD - ZIMBABWÉ - TANZANIE - BOTSWANA - NAMIBIE - THAÏLANDE - INDONESIE - PHILIPPINES - POLOGNE - FINLANDE - RUSSIE - DOM - CANADA - USA - COLOMBIE - MEXIQUE - PÉROU - ESPAGNE - PORTUGAL - FRANCE Mis à part le Kenya, de nombreux pays pratiquent encore la chasse aux trophées ou en boîte (captivité). Souvent, des fermes d'élevage où ls visiteurs peuvent caresser les lionceaux et marcher avec les jeunes lions. Une fois adultes, ces animaux seront alors disponibles pour la chasse... En Asie, les combats de coqs ou d’autres animaux sont souvent mortels. Mutilés et peints, des lames tranchantes sont placées sur leurs ergots pour que chaque combat finisse par la mort d'un des deux animaux. Dans certains pays les corridas s'amusent encore des taureaux, où les toréros combattent, blessent, ou mettent à mort l'animal. Nous ne pouvons tolérer cette chasse et cette mise à mort des animaux qui n'ont pour seul but que d'assouvir les désirs de l'Homme et des traditions qui n'ont plus lieu d'être. 🌿🌿🌿 Nous nous engageons, et vous également en signant notre charte éthique, à ne jamais vous proposer d'activités de chasse ou de mise à mort, ni de visite de fermes d'élevage ! 🌿🌿🌿

maltraitance et spectacles

TOUS LES CONTINENTS Les conditions de capture sont souvent terribles. Les animaux terrestres sont enlevés à leur habitat naturel et souvent les parents sont tués. Les animaux que vous pourriez observer lors de spectacles ou démonstrations en tout genre n'ont rien à faire en captivité. Ces animaux sont, de fait, maltraités et finissent régulièrement abattus pour fournir des industries pharmaceutiques aux mœurs légères et aux traditions laissant à désirer ! En Asie, des ours sont élevés dans de minuscules cages pour le prélèvement de leur bile. Des tigres sont drogués dans des zoos ou «temples» pour ôter tout risque lors de l'approche des visiteurs. Des éléphants sont enchainés près des temples pour divertir. En Indonésie, on visite des fermes de fabrication de café où les civettes sont surexploitées et maltraitées. En Asie et au Moyen Orient, des ours, coqs, guépards, singes en laisse font le show dans les rues, dans des zoos ou dans des centres commerciaux pour divertir les visiteurs. Des « charmeurs de serpents » capturent et mutilent les serpents pour charmer le touriste. Les reptiles ne dansent pas, ils font face à un stress extrêmement important. Terrifié, affamé, enfermé, il s’affaiblit et finira sur le marché noir pour le trafic asiatique après avoir été cloué vivant. Au Japon, on peut même câliner des loutres, chinchillas ou hérissons dans des bars à animaux... L'Homme n'a guère de limites, et tant qu'il y aura des gens pour visiter ces "centres de l'horreur", ils ne fermeront pas ! 🌿🌿🌿 Nous nous engageons, et vous également en signant notre charte éthique, à ne pas visiter, contribuer, participer, assister à des spectacles exhibant des animaux ! Si vous partez sans nos guides, nous vous donnerons toutes les informations nécessaires pour éviter ces centres. Si vous souhaiter visiter un refuge ou un sanctuaire, assurez-vous de la provenance des animaux, et des conditions de réhabilitation qui sont mises en œuvre. Nous vous aiderons à ne pas confondre sanctuaire et Zoos ! 🌿🌿🌿

Il reste entre 3000 et 10 000 singes magots contre 17 000 il y a 30 ans ! Leur population en milieu sauvage a décliné de 60%

- 60 %

Il reste entre 3000 et 10 000 singes magots contre 17 000 il y a 30 ans !

Il y a de moins en moins de tigres en milieux sauvages.

- 5000

tigres en milieu sauvage !

On estime un déclin allant jusqu'à 60%. des Ours d’Asie en milieu sauvage.

- 5 000

Ours d’Asie en milieu sauvage. On estime un déclin allant jusqu'à 60%.

le kilo de bile d’ours est vendu 600$ pour servir l’industrie pharmaceutique traditionnelle chinoise.

600 $

le kilo de bile d’ours vendu pour servir l’industrie pharmaceutique traditionnelle chinoise.

78% des loutres sont en danger d’extinction en Asie du Sud Est

75 %

des loutres sont en danger d’extinction en Asie du Sud Est

Un reptile sur cinq est menacé d'extinction dans le monde

1/5

reptiles est menacé d’extinction dans le monde

100km, c’est ce que parcourent les dauphins chaque jour dans les océans. Ils peuvent plonger à 200 m de profondeur et passent moins de 20% du temps à la surface de l’eau.

100 kilomètres

C’est ce que parcourent les dauphins chaque jour dans les océans. Ils peuvent plonger à 200 m de profondeur et passent moins de 20% du temps à la surface de l’eau.

50% C’est la perte de l’espérance de vie des cétacés en delphinarium. Pour une orque, elle est divisée par 6 !

50%

C’est la perte de l’espérance de vie des cétacés en delphinarium. Pour une orque, elle est divisée par 6 !

30% des dauphins succombent après 24 heures de captivité.

30 %

des dauphins succombent après 24 heures de captivité.

5.5 milliards de dollars C'est la somme que génère l'ensemble des dauphins captifs dans l'industrie du tourisme par AN (sans compter les sources de revenus additionnels)

5.5 milliards de $

C'est la somme que génère l'ensemble des dauphins captifs dans l'industrie du tourisme par AN (sans compter les sources de revenus additionnels)

La plupart des cétacés en captivité vivent dans des bassins 200 000 fois plus petit que ce que serait leur habitat naturel !

200 000 fois plus petit

La plupart des cétacés en captivité vivent dans des bassins 200 000 fois plus petit que ce que serait leur habitat naturel !

Delphinariums et aquariums

TOUS LES CONTINENTS Les conditions de capture et de captivité des animaux marins sont controversées. En ce qui nous concerne, elles sont inadmissibles : jeunes, ils sont enlevés à leur habitat naturel, souvent après un rabattage dans une baie où de nombreux individus sont sacrifiés. Visiter un delphinarium c'est tolérer silencieusement et contribuer financièrement à ces mises à mort lentes et cruelles. Ces parcs ne respectent en rien la physionomie et la psychologie de ces animaux. Les mammifères marins ont besoin d'espaces et de profondeurs, ils ont besoin d'interactions sociales, et de chasser de la nourriture fraiche. AU sein des delphinariums, ils sont nourris de poissons congelés et bourrés d'antibiotiques, ils vivent dans une eau non adaptée à leur biologie, sont coupés de leur congénères Certains delphinariums vot jusqu'à exposer leurs "produits" dans des centres commerciaux,, notamment à Dubaï et en Asie. Il en existe plus de 200 dans le monde ! D'autres se targue de proposer des prestations en semi-liberté, dans des lagons fermés où les animaux sont bel et bien captifs. C'est le cas dans les Caraïbes par exemple. Des excursions proposent de « nager avec les dauphins» qui sont chevauchés par des personnes agrippant leurs nageoires. Partout, les delphinariums et aquariums montrent des animaux angoissés (ours polaires, orques, dauphins...). Les animaux meurent alors jeunes, et développent des comportement agressifs, et les attaques sont de plus en plus nombreuses. Tous ces animaux présentent des signes de dépression flagrants. Un peu de lecture sur les delphinariums, ici ! 🌿🌿🌿 Nous nous engageons, et vous également en signant notre charte éthique, à ne JAMAIS vous proposer de visite de delphinariums ou d'activités incluant des interactions avec les animaux autres que pour leur sauvetage ! Si vous souhaitez intéragire avec des animaux sauvages, engagez-vous plutôt dans des centres de soins à la faune sauvage, ou au sein du Réseau National Échouage, c'est ce que WILD SEAS EXPLORER fait ! 🌿🌿🌿

pourchasse et intéractions

ÎLE MAURICE - REPUBLIQUE DOMINICAINE - MEXIQUE - POLYNÉSIE FRANÇAISE - TANZANIE - ÉGYPTE De nombreuses espèces emblématiques sont classées espèces vulnérables ou en danger par l'IUCN. Aussi, il existe des sanctuaires, des zones "protégées" qui interdisent qui interdisent le dérangement d'une espèce sauvage protégée. Malheureusement les critères du dérangements restent trop subjectifs et la loi bien trop souples concernant ces interactions. Et malheureusement nombreux sont les pays où trop peu de règles existent ! Oublions le "si je les dérange, ils partirons !". Cette remarque est dénuée de sens. L’observation de la faune peut entraîner un stress pour les animaux et modifier leur comportement naturel lorsque les observateurs s’approchent trop près. À l’île Maurice, comme sur d’autres îles, on harcèle les dauphins, sans limite (distance, nage, période ...). En République dominicaine, certains opérateurs agissent de même avec les baleines. En Polynésie française, la mise à l’eau est automatique avec des baleines exténuées à jeun et avec leurs baleineaux. En Norvège les mises à l'eau avec les Orques et les baleines à bosse sont fréquentes et nombreuses, avec des bateaux à moteurs qui s'approchent beaucoup trop près et des nageurs qui se mettent à l'eau quasiment sur le dos des cétacés ! Les interactions avec les animaux marins dont les mises à l’eau nuisent à leur quotidien (capacité de sociabilisation, chasse pour s’alimenter, repos, …). Chaque fuite ou interaction est une dépense d’énergie considérable. Malheureusement, dans certaines zones ces interactions se poursuivent à la longueur de journée. Ces interactions répétées augmentent et modifient le comportement de ces espèces (instinct de survie, dépendance, …). Côté terrestre, en Afrique ou ailleurs, certains chauffeurs pratiquent le hors piste et l’excès de vitesse, pourchassant les animaux ce qui cause stress et accidents de route. La proximité peut aussi créer une agressivité chez certains animaux (éléphants…). 🌿🌿🌿 Nous nous engageons, et vous également en signant notre charte éthique, à ne JAMAIS vous proposer de mises à l'eau avec les cétacés ! Si vous partez sans guide, nous vous demandons de ne pas participer à ces activités. Nous mettons à disposition un éco-guide spécialiste des cétacés, capable de détecter les comportements traduisant un dérangement chez les mammifères marin. Ce guide à pour mission d'empêcher les dérangements. Nous nous engageons à ne pas faire de repérage aérien ou acoustique. Après tout l'observation des animaux n'est que plus exceptionnel lorsque la rencontre est fortuite ou attendue avec patience ! Nous respectons évidemment le code de bonne conduite et les conditions d'approches respectueuses préconisées dans le Sanctuaire Pélagos, mais nous respectons aussi ce code dans les zones où il n'est pas obligatoire ! Enfin, chaque rencontre avec WILD SEAS EXPLORER est une opportunité de collecter des données sur les animaux. Ces données sont accessibles, libres de droits et transmises gratuitement sur demande. Elles sont également partagées sur des plateformes de sciences participatives. 🌿🌿🌿

300 mètres est la distance de l’animal minimum à respecter : zone de vigilance dans lequel les perturbations générées par une embarcation (présence, bruit et gaz d’échappement) sont fortement ressenties par les animaux.

300 mètres

C’est la distance de l’animal minimum à respecter : zone de vigilance dans lequel les perturbations générées par une embarcation (présence, bruit et gaz d’échappement) sont fortement ressenties par les animaux.

100 mètres c’est la limite pour la zone interdite. En deçà, les cétacés percevraient votre présence comme un danger ou une intrusion dans leur espace vital, et leur comportement en serait fortement perturbé.

100 mètres

C’est la limite pour la zone interdite. En deçà, les cétacés percevraient votre présence comme un danger ou une intrusion dans leur espace vital, et leur comportement en serait fortement perturbé.

Code de bonne conduite à respecter pour l'approche des cétacés dans les sanctuaires, les zones protégées. WILD SEAS EXPLORER respecte ces conditions d'approche même dans les zones où ce n'est pas obligatoire.

Code de bonne conduite - approche des cétacés

Ce sont les conditions d'approche des cétacés à respecter dans les sanctuaires et les zones protégées. Wild Seas Explorer respecte ce code en toute circonstance, même lorsqu'il n'est pas obligatoire.

Conditions d'approche des baleines en vigueur en Polynésie et positionnement de bateau d'observation

Code de bonne conduite - positionnement par rapport aux baleines

Ce sont les conditions d'approche des cétacés à respecter en Polynésie. Wild Seas Explorer respecte ce code en toute circonstance, même lorsqu'il n'est pas obligatoire.

Conditions d'approche des baleines en vigueur en Polynésie et positionnement de bateau d'observation

Code de bonne conduite - approche des cétacés

Ce sont les conditions d'approche des cétacés à respecter dans les sanctuaires et les zones protégées. Wild Seas Explorer respecte ce code en toute circonstance, même lorsqu'il n'est pas obligatoire.

50% des éléphants sont tués lors du Phajaan

50 %

des éléphants sont tués lors du Phajaan

Un éléphant doit boire 200 litres d'eau par jour. Hors lorsqu'ils sont exploités, on ne leur donne pas cette eau !

200 litres

C'est ce que dois boire un éléphant chaque jour !

150 kilogrammes c'est la limite de ce que peut porter un éléphant sur son dos. Une nacelle pèse déjà près de 110 kilogrammes...

150 kg

C'est la limite de ce que peut porter un éléphant sur son dos. Une nacelle pèse déjà près de 110 kilogrammes...

1300 chevaux, ânes, mulets et chameaux sont maltraités et forcés à travailler dans des conditions extrêmes, sur Petra.

1300

chevaux, ânes, mulets et chameaux sont maltraités et forcés à travailler dans des conditions extrêmes, sur Petra.

30 kg c'est la limite de ce que peut porter un âne, et sur les côtés. Ne montez jamais sur le dos d'un âne et ne lui faîte pas porter des charges lourdes !

30 kg

C’est la limite de ce que peut porter un âne, et sur les côtés. Ne montez jamais sur le dos d'un âne et ne lui faîte pas porter des charges lourdes !

50% des éléphants captifs d'Asie est détenue par la Thaïlande

50 %

des éléphants captifs d'Asie est détenue par la Thaïlande

40% des touristes se rendant en Asie du Sud-Est programment une balade à dos d'éléphant durant leur voyage, (soit 12,8 millions de promenades par an rien qu’en Thaïlande)

40 %

C'est le pourcentage de touristes se rendant en Asie du Sud-Est qui programme une balade à dos d'éléphant durant leur voyage, (soit 12,8 millions de promenades par an rien qu’en Thaïlande)

Ryder est un cheval mort en août 2022. Ryder s'est effondré en pleine rue à New York après avoir été forcé à tirer une calèche en pleine chaleur. Le conducteur l'a fouetté sans relâche avant que les autorités n’interviennent.

Ryder

C'est le nom du cheval mort en août 2022. Ryder s'est effondré en pleine rue à New York après avoir été forcé à tirer une calèche en pleine chaleur. Le conducteur l'a fouetté sans relâche avant que les autorités n’interviennent.

Monter sur des animaux

THAÏLANDE - CAMBODGE - LAOS - INDONESIE - SRI LANKA - INDE - NÉPAL REPUBLIQUE DOMINICAINE - TUNISIE - MAROC - EGYPTE - TURQUIE - JORDANIE - INDE - GRÈCE (Santorin) - PAYS NORDIQUES On ne le répétera jamais assez, un animal SAUVAGE n'a ni la physionomie ni la psychologie adaptée pour la servitude de l'Homme. Ce n'est donc en rien naturel de monter sur un animal sauvage. Pouvoir le faire implique que l'animal ait été "dressé", et pour être dressé, un animal sauvage doit d'abord être détruit... Pour les éléphant, on appelle cette destruction psychologique le rituel de Phajaan (briser l'âme). Ce rituel implique de nombreuses souffrances pour les animaux. Malheureusement les balades à dos d'éléphants sont encore proposées dans de nombreux pays. Dans certains camps appelés aussi orphelinat, sanctuaire,… on propose aussi des spectacles, des interactions excessives avec les éléphants. Sur tous les continents il est possible de participer à des activités exploitant des animaux domestiques. Nous considérons que parfois l'Homme est assez bon, et l'animal assez imprégné pour qu'une belle relation naissent entre eux et qu'en découle une collaboration ! Vous pouvez donc tout à fait faire une balade à cheval, ou du traineau tiré par les chiens, MAIS ! Pas toutes les activités ne se valent. Si certains centres ont une relation privilégiée et respectueuse avec leur animaux, d'autres ne les utilise que comme des produits. Les chevaux, les ânes, les chiens et les camélidés sont les espèces les plus exploitées, souvent battues, délaissées, mal nourries, déshydratées, avec un rythme effréné. 🌿🌿🌿 Nous nous engageons, et vous également en signant notre charte éthique, à ne JAMAIS faire une balade à dos d'éléphant. Si vous partez sans guide, nous vous demandons de ne pas participer à ces activités. Nos voyages terrestres s'il impliquent la rencontre avec des animaux sauvages, ne proposeront que des activités en pleine nature, ou dans des sanctuaires et refuges dont les conditions de vie des animaux auront été vérifiées. Les interactions avec les animaux y seront proscrites ! Nous nous engageons également à ne pas proposer d'activités avec des animaux domestiques si leur conditions de vie, d'hygiène, de soins et leur relation avec le centre n'ont pas été vérifiées. Nous vous engageons à nous signaler toute suspicion de maltraitance animale ! Si vous partez sans guide, vérifiez quelques points avant de participer à une activité avec des animaux domestiques : conditions de vie (maigreur, sueur, fouet, blessures, rythme…).🌿🌿🌿

Photographies et selfies

SUR TOUS LES SITES OÙ VOUS VOUS TROUVEZ De nombreux défenseurs de la nature, incluant des scientifiques, interpellent les utilisateurs des réseaux sociaux, les voyageurs et les photographes sur le danger que représente la mode des selfies et de la "wildlife photography" sur la faune sauvage. La maltraitance, le dérangement, le stress, l'endommagement des habitats et l'exploitation des animaux pour des prises de vues deviennent légion, et le besoin de reconnaissance sur les réseaux sociaux contribue grandement à cet effet de mode ! Aujourd'hui, de nombreux voyageurs prennent plaisir à rapporter de leur voyages de formidables clichés. Beaucoup de ces nouveaux photographes, débutants ou confirmés sont dans la consommation du voyage, l'urgence de l'observation. La rencontre avec un animal et le respect de ce dernier ne trouvent plus leur place. La recherche de sensation forte, de visibilité et de légitimité sur les réseaux sociaux prennent le pas sur l'amour et le respect de la nature. Les travailleurs du tourisme proposent de plus en plus de voyages ou d'activités photo pour assouvir les besoins de faire l'image parfaite de touristes de plus en plus nombreux. Peu se soucie du bien être animal et de l'éthique. C'est la course au cliché remarquable, peu importe les conditions, peu importe les conséquences. Sont alors proposé le nourrissage, l'appâtage, la poursuite... Entant qu'agence de voyages, Tour Opérateur, Scientifique, Naturaliste, Photographe et amoureux de la nature, nous avons un devoir d'exemplarité ! Nous souhaitons utiliser la photographie comme un outils d'éducation et de sensibilisation et non comme une arme contre la nature ! 🌿🌿🌿 Derrière notre objectif, nous souhaitons vous offrir une vision authentique du milieu sauvage. Et si cela doit impliquer l'attente d'une observation fortuite, la frustration de ne pas voir tout et tout de suite, le renoncement à une observation ou une photographie si nous pouvons être une cause de dérangement, alors qu'à cela ne tienne, c'est ce que nous ferons ! L’autodiscipline est la meilleure réglementation qui existe, et la transparence, la meilleure communication. Et c'est l'exemple que nous vous donnerons ! Wild Seas Explorer s'engage à ne jamais nuire à la faune sauvage et à la nature dans le seul but de prendre une photographie. En partant avec Wild Seas Explorer, vous vous engagez également en signant notre charte éthique de la photographie de voyage et animalière (largement inspiré de la charte éditée par l'IFAW). Si vous partez sans guide, respectez tout de même notre charte ! Vous pouvez également vous engager à respecter la charte mise en place par l'IFAW en la signant ici 🌿🌿🌿

300% d'augmentation de selfies avec des animaux sauvages en quelques années.

300 %

C’est l’augmentation de selfies avec des animaux sauvages en quelques années.

En 2017 Le Brésilien Marcio Cabral remporte le prix de la meilleure photo au concours Wildlife Photographer of the Year. Le cliché montre un tamanoir sous un ciel étoilé dans le parc national des Emas, au Brésil. La légende de la photographie précise que l'auteur a campé sur site pour immortaliser les lumières des termitières et qu'il a eu la chance de voire un fourmilier géant surgir. En réalité, l'animal photographié était en réalité empaillé...

2017

Le Brésilien Marcio Cabral remporte le prix de la meilleure photo au concours Wildlife Photographer of the Year. Le cliché montre un tamanoir sous un ciel étoilé dans le parc national des Emas, au Brésil. La légende de la photographie précise que l'auteur a campé sur site pour immortaliser les lumières des termitières et qu'il a eu la chance de voire un fourmilier géant surgir. En réalité, l'animal photographié était en réalité empaillé...

Outarde à tête noire

Cet oiseau fait partie des 100 espèces les plus menacées au monde ! Cette Outarde est très méfiante et lorsqu'une menace est présente, elle ne se nourrit pas, ne court pas et ne s'accouple pas. L'impact sur sa survie d'un dérangement est évident. En raison du dérangement causé par des photographes insensibles, le Ministère de l’Environnement et des Forêts indien a été contraint d’imposer une limitation de la pratique de la photographie pendant sa période de reproduction.

300% d'augmentation de selfies avec des animaux sauvages en quelques années.

110 millions

de personnes contribuent au business des "selfies avec un animal sauvage".

550 000 animaux sauvages sont exploités dans le but de proposer des selfies.

550 000

animaux sauvages sont exploités dans le but de proposer des selfies.

Charte de la photo animalière et de nature - WILD SEAS EXPLORER

Charte de la photo animalière et de nature - WILD SEAS EXPLORER

Lire la Charte éditée par WILD SEAS EXPLORER